29 avril 2009 – Quantité d’entreprises commencent à sabrer dans leurs effectifs de cadres. Pour maintenir les coûts sous contrôle, c’est dans l’ensemble des couches de l’organisation que l’on opère maintenant des coupes. Après les licenciements massifs d’ouvriers et d’employés, ce sont aujourd’hui les managers qui sont pris dans les filets de la crise.
En période de récession, l’expression « cost-cutting » est la plus répandue dans le monde de l’entreprise. Dans une première phase, les entreprises s’orientent vers les centres de coûts les plus simples à supprimer : les consultants, les interim-managers et autres dépenses marketing… Quand ces économies ne donnent pas les résultats escomptés, on passe alors à une phase de grandes restructurations débouchant sur le licenciement d’un grand nombre d’ouvriers et d’employés. Si les mesures semblent encore insuffisantes en période de profonde récession, ce sont nombre de dirigeants qui doivent quitter le navire pour maintenir l’entreprise à flot.
Un nombre croissant de burn-outs
« Beaucoup de cadres moyens et supérieurs ont vécu ces derniers mois sous une pression énorme, souvent sans résultats encourageants ni d’effet positif immédiat », explique Dominique Dierckxsens, CEO de Batenborch. « Beaucoup malheureusement n’arrivent pas à faire jouer de soupape. C’est ainsi que nous voyons quantité de cadres dirigeants entrer dans une spirale négative et courir vers l’épuisement. Ces managers seront les prochaines victimes de la crise. »
Dominique Dierckxsens ajoute : « Ces derniers mois, nous avons constaté une augmentation de 30% des recrutements confidentiels. Les entreprises veulent obtenir de meilleurs résultats avec moins de cadres dirigeants et recherchent donc des topmanagers capables de redresser la situation. On veut recruter ces personnes avant de se séparer des actuels cadres. » A la lumière de l’expérience de récessions précédentes, ce phénomène pourrait s’interpréter comme un signe avant-coureur d’une reprise.
Batenborch International est un cabinet de recrutement de cadres exécutifs, spécialisé dans les fonctions sales & marketing. Fondé il y a 20 ans par Dominique Dierckxsens, Batenborch International compte aujourd’hui 70 collaborateurs et est implanté en Belgique, aux Pays-Bas, en France et en Allemagne.
www.batenborch.com
En période de récession, l’expression « cost-cutting » est la plus répandue dans le monde de l’entreprise. Dans une première phase, les entreprises s’orientent vers les centres de coûts les plus simples à supprimer : les consultants, les interim-managers et autres dépenses marketing… Quand ces économies ne donnent pas les résultats escomptés, on passe alors à une phase de grandes restructurations débouchant sur le licenciement d’un grand nombre d’ouvriers et d’employés. Si les mesures semblent encore insuffisantes en période de profonde récession, ce sont nombre de dirigeants qui doivent quitter le navire pour maintenir l’entreprise à flot.
Un nombre croissant de burn-outs
« Beaucoup de cadres moyens et supérieurs ont vécu ces derniers mois sous une pression énorme, souvent sans résultats encourageants ni d’effet positif immédiat », explique Dominique Dierckxsens, CEO de Batenborch. « Beaucoup malheureusement n’arrivent pas à faire jouer de soupape. C’est ainsi que nous voyons quantité de cadres dirigeants entrer dans une spirale négative et courir vers l’épuisement. Ces managers seront les prochaines victimes de la crise. »
Dominique Dierckxsens ajoute : « Ces derniers mois, nous avons constaté une augmentation de 30% des recrutements confidentiels. Les entreprises veulent obtenir de meilleurs résultats avec moins de cadres dirigeants et recherchent donc des topmanagers capables de redresser la situation. On veut recruter ces personnes avant de se séparer des actuels cadres. » A la lumière de l’expérience de récessions précédentes, ce phénomène pourrait s’interpréter comme un signe avant-coureur d’une reprise.
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Batenborch International est un cabinet de recrutement de cadres exécutifs, spécialisé dans les fonctions sales & marketing. Fondé il y a 20 ans par Dominique Dierckxsens, Batenborch International compte aujourd’hui 70 collaborateurs et est implanté en Belgique, aux Pays-Bas, en France et en Allemagne.
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